DISCOGRAPHIE
BIO
Né en 1967 à Paris, Manu Lods a tout juste 18 ans lorsqu’il est adopté par le duo de chanteurs humoristes Font & Val. Les dates sont nombreuses, il assure leur première partie pendant plusieurs années de tournées, avec de luxueuses escales au TLP Déjazet, à l’Olympia ou au Casino de Paris.
Manu Lods écrit ses propres chansons et monte ses premiers spectacles. Maxime Le Forestier lui remet alors le prix Sacem du meilleur parolier lors des Journées Brassens, à Sète, en 1990.
1991 : chez Font & Val, il rencontre Franck Mermillod et Baudouin Claessens avec lesquels il crée le trio Blue Jean Society : un groupe caustique, mis en scène, aux chansons écrites et composées pour la plupart par Manu Lods. Les « Blue Jean » enregistrent deux albums, remportent le Grand prix du Festival de Rochefort (Belgique) en 1995 et assurent la même année les premières parties de Renaud aux Francofolies de La Rochelle ainsi qu’au Zénith de Toulon.
2005 : Enregistrement du premier album solo (« Les mâchoires de velours ») sous le label Le Loup du Faubourg (distribution Wagram). La presse est fournie (4 étoiles au Monde de la Musique).
2007 : Manu Lods enregistre 22 chansons pour enfants (« Si la tour Eiffel était une girafe ») sur le thème unique de Paris.
2009 : Tout en tournant ses spectacles solo dans divers lieux parisiens, Manu Lods intègre le fameux atelier d’écriture de Claude Lemesle (président d’honneur de la Sacem) et crée de nombreuses nouvelles chansons. Il participera à cet atelier durant dix ans.
2012 : enregistrement du troisième album solo, « Vrai métier », réalisé par Mourad Malki et Marco Papazian, produit comme les deux albums précédents par l’association Les Guitares en bois.
Une formule scénique en duo se met alors en place de façon régulière et durable. Manu Lods chante à la guitare, accompagné à la basse par Rafaël Leroy. Une complicité savoureuse leur permet de tourner abondamment, essentiellement à Paris et en région parisienne.
2016 : enregistrement de l’album « Garder le fou-rire », réalisé par Marco Papazian et distribué par Rue Stendhal, avec une sortie à guichets fermés au Zèbre de Belleville.
2021 : sortie de l’album autoproduit « Hôtel de l’Atlantique ».
22 novembre 2024 : sortie de l’album autoproduit « Quai des Petits Bonheurs », distribué par Inouïe Distribution et édité par l’éditeur David Séchan (éditions Milosonge).
« Qui savait, avec autant d’intelligence et aussi bien, nous faire rire ? Reiser.
Manu Lods est la mélodie de Reiser. On ne s’en lasse jamais. »
Oncle Bernard (Bernard Maris) – Charlie Hebdo
« Dans une langue qui enlace la rosserie et le câlin, l’ironie et le sentiment tout nu, Manu Lods donne à entendre un répertoire à la fois homogène et varié (…), l’idéal pour un riche tour de chant. »
****Le Monde de la Musique
« Manu Lods appartient à cette confrérie d’artistes dont les chansons naissent du bistrot et du plaisir, de la colère et de la liberté. »
Bertrand Dicale – Causette
« Entre hyperréalisme prosaïque et tentations poétiques, Manu Lods fait mouche avec précision et discrétion. (…) Bonne surprise. »
Télérama
« Il y a comme ça des disques qu’on met dans le lecteur de sa voiture, et qui vous accrochent immédiatement. Une maturité, un ton amusé ou nostalgique, un style de texte, une couleur musicale et un genre de sujets traités motivent immédiatement une deuxième écoute ! »
Vinyl
« Manu Lods, c’est un mélange, un brassage d’influences réussi. Du Brassens et quelques autres figures des cabarets des grandes heures, dont une dose de chansonnier tendance Font & Val, forcément. Ses textes brossent des portraits précis, avec un souci du détail, l’humour est toujours là pour appuyer sur quelque défaut ou tare.
Rien n’est gratuit mais tout est subtil. Même quand il chante ses engagements, Manu Lods tourne sept fois la rime dans sa bouche pour la mieux peser, pour la mieux faire éclater avec une virulence élégante. Autre point de force sur scène : les inter-chansons.Manu Lods n’est pas avare de ses mots, de ses petites mises en scène pour présenter les titres à venir. Comme son aîné Renaud, toujours dans l’humour et le partage.
Manu Lods, c’est aussi et peut être d’abord un capital sympathie énorme. Et le public ne s’y trompe pas, venant remplir copieusement les salles et reprendre tantôt quelques refrains, réclamer tantôt telle ou telle autre chanson.
C’est accompagné à la basse par l’épatant Raphaël Leroy que les deux garçons distillent une prestation de haute qualité et des plus
revigorantes. Fluide, limpide. Avec le plaisir bien visible de jouer ensemble. Avec précision et engouement.
David Desreumaux – Hexagone